Un génocide oublié au coeur de l'Afrique

En plein 21 ème siècle, il se passe au cœur du continent noir des horreurs, des atrocités, des barbaries, et des crimes inouïs et indescriptibles dont sont victimes les peuples du Congo au grand dam du monde. Abandonné à leur triste sort, les Congolais sont en proie à des éliminations physiques intentionnelles, partielles ou totales. Ils sont dans certains coins de leurs territoires, détruits, massacrés et exterminés, voire violées pour le cas des femmes et mises en incapacité de procréer en raison de leurs appartenances originelles et de souche à leurs sols. Ces massacres de masse sont intentionnels, systématiques et planifiés par certains États Africains voisins qui bénéficient d'une espèce d'approbation qui ne dit pas son nom, par contre visible par l'amnésie dont souffre curieusement la communauté internationale au sujet des crimes qui sévissent ce pays depuis plus de 27 ans. Le nombre de morts en est incalculable à ce jour, estimé à plus de 12 millions en 2018. Oui le mot « génocide » c'est le reflet de la situation qui prévaut au Congo, et que la Communauté Internationale ne veut pas dénoncer mais surtout stopper. Elle se démène à cacher, à étouffer et à nier ce qui se passe. Des États Africains, dont principalement le Rwanda et l'Ouganda sont devenus au vu et au su de la communauté internationale, des auteurs de crime contre l'humanité et de génocide au cœur de l'Afrique en RD Congo, contre des populations Congolaises, et sont responsables de graves violations des droits de l'homme et du droit international humanitaire dans un cycle de violence qui n'est pas encore terminé. Le silence et l'inaction de la communauté internationale laissent trainer un soupçon de complot contre la RD Congo, lorsque l'on sait les richesses du sol et du sous-sol dont dispose ce pays, sûrement profitable à l'exploitation sans contrepartie par des multinationales dans un climat de chaos. Ce livre rend hommage aux victimes Congolaises, lance un appel de détresse, et interpelle la communauté humaine sur la probabilité de crime de "génocide" en cours en RD Congo.