Votre choix sur les cookies : Nous utilisons des cookies pour assurer le bon fonctionnement de notre site ainsi que pour améliorer l'expérience publicitaire. Indiquez-nous votre choix d'utilisation des cookies ci-dessous.
Ce n'est pas que je n'aime pas les souvenirs, c'est que je n'aime pas ce qui va avec. Ils ne s'effacent pas lorsqu'on les enterre, ils meurent lorsqu'on les oublie. Un deuil sans souvenirs, c'est l'impossibilité d'enterrer une absence. Combien d'étés doivent encore passer pour que tu me manques autant ? Au temps des vacances. Au temps d'avant. Autant qu'avant ? Au vent d'autan soufflant sur cette terre brûlée dont tu as emporté le secret.
Les enfants...
Ce n'est pas que je n'aime pas les souvenirs, c'est que je n'aime pas ce qui va avec. Ils ne s'effacent pas lorsqu'on les enterre, ils meurent lorsqu'on les oublie. Un deuil sans souvenirs, c'est l'impossibilité d'enterrer une absence. Combien d'étés doivent encore passer pour que tu me manques autant ? Au temps des vacances. Au temps d'avant. Autant qu'avant ? Au vent d'autan soufflant sur cette terre brûlée dont tu as emporté le secret.
Les enfants ne naissent sous les oliviers Mon Güs. Seules les feuilles des arbres protègent leurs rêves et les mettent à l'ombre le temps du souvenir.
« Des instants de vie, au reflet de désert et d'amitié. » Valérie Cécinas, enseignante.
« Un livre à lire aussi avec les oreilles. » Amandine Montpothier, journaliste.
« Émouvant et drôle. Sincère. Avec de la poésie au bout des doigts. » Solyne Lelièvre, directrice de production documentaire.
Informations techniques
Nombres de pages : 106
Date de publication : 2020-11-14 09:40:03ISBN : 979-10-359-3526-9Bookelis