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Des coulisses du théâtre où le souffleur meurt étouffé aux chambres de l'hôpital où certains malades décèdent prématurément, il n'y a qu'un pas que le ou les meurtriers franchissent allègrement. Mais pourquoi donc s'en prendre systématiquement à des malades en fin de vie ? A-t-on affaire à des « interruptions volontaires de détresse » comme le suggère malicieusement Hector...