Votre choix sur les cookies : Nous utilisons des cookies pour assurer le bon fonctionnement de notre site ainsi que pour améliorer l'expérience publicitaire. Indiquez-nous votre choix d'utilisation des cookies ci-dessous.
Chercheur au CNRS, Alain Joubert est né en 1998. À l'âge de 51 ans, il est un biologiste de renommée internationale, un peu rêveur, connu pour ses travaux sur les cancers et le processus de l'Apoptose, cette sorte d'horloge interne qui détermine la durée de vie de nos cellules.
Au retour d'un séjour aux U.S.A. il doit faire face à la réorganisation de son département de recherche et il est contraint de collaborer avec un collègue immunologiste militaire. Il vit mal cette coopération forcée...
Chercheur au CNRS, Alain Joubert est né en 1998. À l'âge de 51 ans, il est un biologiste de renommée internationale, un peu rêveur, connu pour ses travaux sur les cancers et le processus de l'Apoptose, cette sorte d'horloge interne qui détermine la durée de vie de nos cellules.
Au retour d'un séjour aux U.S.A. il doit faire face à la réorganisation de son département de recherche et il est contraint de collaborer avec un collègue immunologiste militaire. Il vit mal cette coopération forcée et il est amené à se poser des questions sur les applications possibles, autres que thérapeutiques, de ses découvertes.
Lorsqu'il découvre que ses travaux ont servis à mettre au point « un élixir de jeunesse », il s'oppose à cette utilisation faite à son insu et il saisit le comité d'éthique.
Cette démarche entreprise malgré le désaccord du patron de son département est le point de départ d'une « spirale du pire ».
Il doit alors faire face à des intérêts extérieurs puissants qu'il croit pouvoir contrer en alertant l'opinion publique. Son combat l'emporte dans campagne médiatique stérile et destructrice.